L'actualité et l'histoire à travers les armoiries, les drapeaux, les décorations et la généalogie.
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Etendards de la famille impériale japonaise
Lié à leur position, l'Empereur du Japon, l'Impératrice, le Prince Impérial, la Princesse Impériale et les autres Princes de la Maison impériale japonaise disposent chacun d'un étendard personnel. Ces attributs bénéficient d'un dessin spécifique à leur titulaire.
Empereur du Japon
Impératrice du Japon
Prince Impérial
Princesse Impériale
Autres Princes
Provinces de France - Marche
Le blasonnement des armoiries de la Marche est : d’azur, semé de fleurs de lys d’or, à la bande de gueules, chargée de trois lions d’argent, brochante sur-le-tout.
La Marche, qui occupe l’actuel département de la Creuse plus quelques territoires de la Vienne et de la Haute-Vienne reprend les armes des Comtes de La Marche issus de la Maison de Bourbon. Le premier d’entre eux, Jacques Ier de Bourbon, Comte de la Marche en 1342, était un cadet du Duc Louis Ier de Bourbon lequel avait notamment reçu ce Comté en apanage du Roi de France. Pour cette raison, il reprenait les armes paternelles, d’azur, semé de fleurs de lys d’or, à la bande de gueules, brochante sur-le-tout, qu’il différenciait en ajoutant trois lions en brisure. Ces trois lions sont une référence soit aux armes de sa mère, Marie d’Avesnes, fille de Jean II Comte de Hainaut, qui arborait pas moins de quatre lions sur ses armes, soit aux six lions portés sur les armes des Comtes de la Marche de la Maison de Lusignan, depuis Hugues XI (+1250), qui possédèrent le Comté jusqu’à sa vente au Roi de France en 1309.
La Marche, qui occupe l’actuel département de la Creuse plus quelques territoires de la Vienne et de la Haute-Vienne reprend les armes des Comtes de La Marche issus de la Maison de Bourbon. Le premier d’entre eux, Jacques Ier de Bourbon, Comte de la Marche en 1342, était un cadet du Duc Louis Ier de Bourbon lequel avait notamment reçu ce Comté en apanage du Roi de France. Pour cette raison, il reprenait les armes paternelles, d’azur, semé de fleurs de lys d’or, à la bande de gueules, brochante sur-le-tout, qu’il différenciait en ajoutant trois lions en brisure. Ces trois lions sont une référence soit aux armes de sa mère, Marie d’Avesnes, fille de Jean II Comte de Hainaut, qui arborait pas moins de quatre lions sur ses armes, soit aux six lions portés sur les armes des Comtes de la Marche de la Maison de Lusignan, depuis Hugues XI (+1250), qui possédèrent le Comté jusqu’à sa vente au Roi de France en 1309.
Marche
Duché de Brunswick
Le Duché de Brunswick est fondé en 1815 par le Congrès de Vienne. Il succède à la Principauté de Brunswick-Wolfenbüttel, qui avait été annexée en 1807 par le Royaume de Westphalie.
Le premier Duc, Charles II (Karl II), doit abdiquer après une insurrection en 1830. Son frère Guillaume (Wilhelm) lui succède. Sous son règne, le Brunswick adhère à la Confédération de l'Allemagne du Nord, puis à l'Empire allemand. A sa mort, en 1884, la lignée de Wolfenbüttel s'éteint. Son héritier selon les lois successorales du Duché est le Duc de Cumberland, mais ce candidat ne plaît pas à la Prusse. Par une série de manoeuvres, le Duché demeure gouverné par des régents jusqu'en 1913, date à laquelle Ernest-Auguste (Ernst-August), fils du duc de Cumberland, devient duc. Il abdique comme les autres princes allemands en 1918.
Voici le drapeau, les grandes armoiries, les petites armoiries et la cocarde militaire de ce Duché.
Le premier Duc, Charles II (Karl II), doit abdiquer après une insurrection en 1830. Son frère Guillaume (Wilhelm) lui succède. Sous son règne, le Brunswick adhère à la Confédération de l'Allemagne du Nord, puis à l'Empire allemand. A sa mort, en 1884, la lignée de Wolfenbüttel s'éteint. Son héritier selon les lois successorales du Duché est le Duc de Cumberland, mais ce candidat ne plaît pas à la Prusse. Par une série de manoeuvres, le Duché demeure gouverné par des régents jusqu'en 1913, date à laquelle Ernest-Auguste (Ernst-August), fils du duc de Cumberland, devient duc. Il abdique comme les autres princes allemands en 1918.
Voici le drapeau, les grandes armoiries, les petites armoiries et la cocarde militaire de ce Duché.
Duché de Brunswick
Anniversaire de la Princesse Béatrice (Beatrice) d'York
Aujourd'hui 8 août 2011, 23e anniversaire de SAR la Princesse Béatrice (Beatrice Elizabeth Mary) Windsor, fille aînée du Duc d'York.
Béatrice (Beatrice) d'York
Provinces de France - Maine
Le blasonnement des armoiries du Maine est : d’azur, semé de fleurs de lys d’or, à la bordure de gueules, chargée au franc-quartier d’un lion d’argent.
Le Maine dont l’histoire a souvent été associée à celle de son voisin l’Anjou, recouvre approximativement les actuels départements de la Sarthe et de la Mayenne. On lui attribue habituellement pour armoiries celles qu’arboraient Charles d’Anjou, Comte du Maine de 1434 à 1472. Sur un plan technique, elles font appel à une double brisure. Les armes de base, le semé de fleurs de lys sur champ d’azur, sont celles des Rois de France et la bordure de gueules, qui est ici la première brisure, est caractéristique de la seconde Maison capétienne d’Anjou. Charles, fils du Duc Louis II d’Anjou avait reçu en apanage le Comté du Maine, détaché des possessions paternelles. Etant le benjamin des futurs Ducs Louis III et René Ier il surbrisait ses armoiries en ajoutant un lion d’argent au franc-quartier. Le choix de ce lion, qui cette fois n’est pas une référence aux armes maternelles , a longtemps été discuté. Il est possible qu’il renvoie aux lions arborés dans les armes des anciens Ducs d’Anjou de la Maison de Plantagenet, où que tout simplement il ne soit qu’un choix individuel de Charles.
Le Maine dont l’histoire a souvent été associée à celle de son voisin l’Anjou, recouvre approximativement les actuels départements de la Sarthe et de la Mayenne. On lui attribue habituellement pour armoiries celles qu’arboraient Charles d’Anjou, Comte du Maine de 1434 à 1472. Sur un plan technique, elles font appel à une double brisure. Les armes de base, le semé de fleurs de lys sur champ d’azur, sont celles des Rois de France et la bordure de gueules, qui est ici la première brisure, est caractéristique de la seconde Maison capétienne d’Anjou. Charles, fils du Duc Louis II d’Anjou avait reçu en apanage le Comté du Maine, détaché des possessions paternelles. Etant le benjamin des futurs Ducs Louis III et René Ier il surbrisait ses armoiries en ajoutant un lion d’argent au franc-quartier. Le choix de ce lion, qui cette fois n’est pas une référence aux armes maternelles , a longtemps été discuté. Il est possible qu’il renvoie aux lions arborés dans les armes des anciens Ducs d’Anjou de la Maison de Plantagenet, où que tout simplement il ne soit qu’un choix individuel de Charles.
Maine
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